* C’est quoi ? Une mousse issue du pétrole qui prend de l’expansion puis durcit en séchant.

* Formes possibles. En mousse giclée, en panneaux.

* Parties de la maison concernées. Murs du sous-sol et murs extérieurs, combles.

* Principaux fabricants : Demilec, Walltite.

* Sa disponibilité au Québec. Disponible chez les détaillants.

* Son coût. Moins cher que son cousin à cellules fermées (et également mois nocif pour l’environnement).

* Installation. Difficile à mettre en place, installation à faire par un professionnel.

* Sa performance. Correcte. Il peut être pare-air, mais pas pare-vapeur contrairement à son cousin à cellules fermées. Il est légèrement moins performant côté isolation (0.22 à 0.35 par cm, soit R-3,17 à R-5).

* Ses propriétés insonorisantes et anti-feu. Aucune.

* Son bilan environnemental. Ses agents de gonflement émettent un gaz moins puissant en termes d’effet de serre que le polyuréthane à cellules fermées. Mais sa nocivité pour l’environnement reste réelle.

* Son bilan santé. L’EPA (Environmental Protection Agency, États-Unis) effectue actuellement une étude pour déterminer sa toxicité quant aux émissions de gaz le long de sa vie. On le soupçonne de dégager des amines (un dérivé de l’ammoniac), qui sont des substances dangereuses.

* Verdict d’Écohabitation. Moins bon mais aussi moins cher que son cousin à cellules fermées, il reste néanmoins très toxique durant l’installation. Nécessite l’installation d’un pare-vapeur. Il est à préférer au PU à cellules fermées, et à utiliser pour des travaux ponctuels (défauts d’étanchéité ou d’isolation).